HELIKOPTER / LICHT

Angelin Preljocaj nous propulse dans les vrombissements orageux de sa célèbre pièce Helikopter (2001) avant de révéler sa dernière création, solaire et lumineuse, Licht.

Êtes–vous prêts à traverser la tempête ?

Sur la musique vertigineuse du Helikopter–Quartet de Stockhausen, six danseurs tourbillonnent dans un espace entre ciel et terre. Ils semblent lutter contre les forces qui les assaillent. La lumière les écrase, le son les aspire mais ils résistent, inspirés par une énergie radicale et organique. Puis, un silence salvateur, presque irréel, ouvre la voie à la toute dernière création d’Angelin Preljocaj, éclatante et vibrante. Licht, comme un nouvel élan, surgit tel un souffle de liberté porté par l’énergie des partitions de Laurent Garnier.

Dans ce mouvement de bascule, d’une intensité brute à une clarté solaire, ce spectacle offre une métaphore saisissante de notre époque, une invitation à danser avec le monde qui vient.

DISTRIBUTION

Helikopter
2001 – Pièce pour 6 danseurs
Durée 35 minutes – Chorégraphie Angelin Preljocaj – Musique Karlheinz Stockhausen, Helikopter-quartet’ – Interprétée sur la bande par Le Quatuor Arditti – Scénographie Holger Förterer – Lumière Patrick Riou – Costumes Sylvie Meyniel – Assistant, adjoint à la direction artistique Youri Aharon Van den Bosch – Assistant répétiteur Paolo Franco – Choréologue Dany Lévêque – Distribution en cours

LICHT
Création 2025 pièce pour 12 danseurs
Durée 35 minutes - Chorégraphie Angelin Preljocaj – Musique originale Laurent Garnier – Costumes Eleonora Peronetti – Lumière Éric Soyer – Création vidéo Nicolas Clauss – Extraits issus de « Stockhausen - Preljocaj / Dialogue » filmé par Olivier Assayas © MK2TV 2007

MENTIONS OBLIGATOIRES

Helikopter – Commande de la Biennale Nationale de Danse du Val-de-Marne 2001 – Coproduction à la création La Criée, Centre Dramatique national de Marseille ; Biennale nationale de Danse du Val de Marne ; Maison des Arts et de la Culture de Créteil et du Val-de-Marne – Avec l’aide à la création du Conseil Général du Val-de-Marne
Helikopter-Streichquartett est disponible sur www.stockhausencds.com

LICHT
Coproduction Théâtre de la Ville-Paris

Ballet Preljocaj, Centre Chorégraphique National subventionné par le Ministère de la Culture et de la Communication – la DRAC PACA, Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, le Département des Bouches-du-Rhône, la Métropole Aix-Marseille Provence, la Ville d’Aix-en-Provence – Et soutenu par le Groupe Partouche - Pasino Grand Aix-en-Provence, le Cercle des mécènes entreprises & particuliers, ainsi que de ses partenaires.

PRESSE

« Vingt-quatre ans après sa création, la reprise d’Helikopter signe de façon magistrale la témérité artistique du directeur du Ballet Preljocaj. (…) Pas besoin d’attendre plus de quelques minutes pour vérifier que cette pièce pour six danseurs est toujours plus qu’époustouflante, superbement offensive et sans concession. Elle est ici accompagnée d’un nouvel opus pour 12 interprètes, qui lui offre un contre-point adouci et atmosphérique, intitulé LICHT. (…) Quel plaisir ! »
Le Monde, avril 2025

« Helikopter / LICHT, le nouveau et flamboyant voyage de Preljocaj.
Le chorégraphe s’empare de la pièce fracassante du compositeur allemand Stockhausen dans un ballet radical et hypnotique. Il y associe la partition de Laurent Garnier pour un final plus techno. Et tout aussi lumineux. (…) La troupe du Ballet Preljocaj révèle encore une fois qu’elle est capable de tout. »
Télérama, 23 avril 2025

« Helikopter est d’un bel effet d’ensemble : musique tonitruante glanée dans un héliport, lignes ou figures voyageant sur le sol par la magie de la vidéo, duos triplés et taillés avec vigueur. Preljocaj reprend l’idée du mouvement d’hélice auquel font écho les rotations des corps, les mouvements des bras, les enlacements des couples. »
Danser, avril 2001

« Refusant jusqu’au bout la concession, Preljocaj assume avec une grande intelligence son rapport à la musique. Il nous propose une danse abstraite, le seul mouvement continu des corps, le flux musical de leurs lignes mouvantes. Cette danse dépouillée de toute velléité illustrative se donne donc à voir tout simplement, comme une forme, au sein d’une musique dont la force brutale n’aurait pas supporté l’addition d’un propos. Extrémiste donc, mais dans l’épure. Jusqu’à la magie du dernier mouvement dans le silence retrouvé. »
La Marseillaise, le 18 novembre 2000